Tous Projets sociaux les projets de crowdfunding

L'association faîtière conseil budgétaire Suisse est née du mouvement pour les droits des femmes des années 60. C'était il y a 60 ans, mais malheureusement, les femmes sont toujours désavantagées dans de nombreux domaines. Aidez-nous à renforcer les compétences financières des femmes et à améliorer ainsi leur situation financière.

L’accouchement est un événement pour lequel une femme doit être accompagnée avec le plus grand soin et une sensibilité profonde. Un cadre extrahospitalier permet de prendre en compte ces aspects. La maison de naissance Luna garantit un accompagnement personnel, familial et professionnel, depuis le début de la grossesse jusqu’à la fin de l’allaitement. Conformément à la philosophie de la maison de naissance, les femmes sont prises en charge par une équipe de taille raisonnable, et nous souhaitons que cela perdure. Notre cadre familial et intime, notre infrastructure confortable et sécurisante et le professionnalisme de nos sages-femmes sont autant d’éléments garantissant que les femmes puissent accoucher de manière spontanée et naturelle. Grâce à l’écoute et la bienveillance, nous aidons les femmes à se connecter à elles-mêmes et à faire confiance à leur corps. De plus, l’ensemble de l’équipe connait chaque femme et son histoire personnelle.

Votre soutien permettra à une personne d’être disponible pour faciliter l’accueil des réfugiés par des personnes privées. Ce projet sera réalisé en lien étroit avec les partenaires déjà actifs dans ce domaine. En Suisse aussi, on peut s’attendre à une augmentation du nombre de demandeurs d’asiles (30'000 en 2015). L’Organisation suisse d’aide aux réfugiés (OSAR) et d’autres organisations et Eglises ont appelé la population à mettre à disposition des logements privés pour accueillir des réfugiés admis (provisoirement ou non) en Suisse. Plus de 500 personnes se sont déjà inscrites. La mise en œuvre de cet accueil au travers des structures existantes prend toutefois plus de temps que prévu (étude des dossiers, autorités, ressources…). En tant que Réseau évangélique suisse (SEA-RES), nous souhaitons donc participer à cet effort et mobiliser les ressources humaines nécessaires à ce travail. Dans ce but, nous souhaitons embaucher un(e) travailleur(se) social(e) à temps partiel, afin qu’il/elle puisse soutenir le travail effectué par les organisations déjà actives dans ce domaine. Dans un premier temps, cette personne sera active dans les cantons où l’accueil de migrants par des privés a déjà commencé (par ex. GE, VD, BE, AG, …) Notre objectif pour pouvoir mettre en œuvre cette première étape consiste à récolter 55'000 CHF par le biais d’une action de crowdfunding.

Qu’apporte un livre de portraits aux personnes souffrant de mucoviscidose? L’histoire de ces malades permet de mettre un visage sur cette maladie rare et inconnue qu’est la mucoviscidose. Cela permet également de faire mieux connaître la mucoviscidose auprès du grand public. Les personnes souffrant de cette maladie rare qu’est la mucoviscidose ont souvent du mal à faire comprendre aux autres les contraintes quotidiennes liées à la maladie. La maladie ne se voit pas même si elle rythme constamment du quotidien. En règle générale, les malades ont 2 à 3 heures de thérapie par jour. Le livre a pour objectif - de donner du courage aux jeunes parents d’enfants malades, - de donner le sentiment aux malades qu’ils ne sont pas seuls, - de développer de la compréhension par rapport à la maladie (p. ex. de la part de l’employeur et des proches). Pour résumer, le livre de portraits donne un visage et une voix aux personnes atteintes de mucoviscidose. Peu de gens en Suisse savent que la mucoviscidose est une maladie incurable et que l’espérance de vie des personnes atteintes est limitée. En tant qu’organisation de patients souffrant de mucoviscidose (CFCH), nous avons pour projet particulier de photographier et de faire le portrait de personnes souffrant de la maladie.

Bonjour! Jullay! Au Zanskar, une région isolée de l'Himalaya Indien, 14'000 personnes se retrouvent coupés du reste du monde en hiver en raison de conditions météorologiques extrêmes qui entrainent la fermeture des cols et des seules voies de communication. Il n’existe actuellement pas d’équipe de sauvetage en cas de situation d’urgence résultant de maladie ou d'accident. C’est là que l’association veut intervenir. Nous voulons former une équipe de 8 jeunes Zanskari aux techniques de secours en montagne et en médecine d'urgence, ceci incluant l'aide à l'accouchement, et ce à compter de mars 2018.

… c‘est ce qui manque à la plupart des gens depuis le tragique tremblement de terre d‘avril 2015. L‘aide n‘est pas encore arrivé dans certaines zones montagneuses et reculées du pays. Résumé de notre projet: Nous aiderons dix familles à reconstruire leur logements. Pour cette raison, nous envisagons de voyager au Kathmandu au printemps 2016, afin d‘ assurer le transport des éléments de construction pour la reconstruction de leurs maisons situées à 2700 mètres d‘altitude. Il est très important pour nous que… ...les tois des maison soient fabriqués au Népal. ...les materiaux choisis pour construire résistent aux conditions météorologiques de hautes altitudes. … la reconstruction du villages soit effectuée par les habitants eux-mêmes selon leur traditions et leur connaissances. … nous restions sur place jusqu‘ à la fin du projet, afin de pouvoir suivire les travaux et soutenir les habitants. Quelques explications intéressants: - Musey est situé dans le district de Solu Khumbu qui est connu pour ses paysages à coupé le souffle et qui est le point de départ des différentes expéditions et randonnés au Himalaya. - La plupart des habitants de Musey sont des Sherpa qui vivent essentiellement de l‘agriculture et de leur travail de guide de haute montagne. - Le peuple des Sherpa (♂) et des Sherpini (♀) sont d‘origine Tibétains. - Le nom tribal "Sherpa" s‘est transformé en titre professionnel; aujourd‘hui on appelle tous les porteurs des expéditions himalayennes les „sherpa“. - Dans la periode de leur vie, où les Sherpas peuvent travailler comme porteurs et guides de montagne, ils ne gagnent pas seulement pour leurs propres familles, mais souvent pour tout le village.

En novembre 2015, la première semaine de formation pour les moniteurs de ski sera organisée à Karakol (Kirghizistan). Vingt cinq personnes de différentes régions du pays prendront part à la formation avec l'objectif de promouvoir les sports d'hiver et le tourisme d'hiver dans les zones rurales du Kirghizistan. La formation leur apportera les bases techniques, méthodologiques et pédagogiques pour mener à bien des cours de ski dans leur école de sport ou avec des touristes locaux ou internationaux. Devenir un moniteur de ski permet d'avoir un revenu complémentaire pendant les mois d'hiver où les activités agricoles sont réduites. Les infrastructures existent dans une moindre mesure : des écoles de ski locales pour les enfants, des opportunités pour lu ski de randonnée et de nouvelles petites stations de ski autour de Bichkek, ainsi que de rares infrastructures plus anciennes et plus grandes. La première formation en novembre 2015 fera office de phase pilote. Elle sera suivie d'une phase de quatre ans pendant laquelle les moniteurs locaux pourront conduire eux-mêmes des formations pour leur communité. Soutenez-nous!

Les personnes sourdes doivent aussi avoir accès aux évènements culturels. Mais comment profiter d'un concert ? Les traductrices professionnelles en langue des signes permettent aux personnes sourdes une expérience de musique particulière. En traduisant bien sûr les paroles des chansons, mais pas seulement. Elles expriment aussi le rythme, l'"ambiance" de la musique, un solo de batterie ou de guitare. Cet été, Procap organise déjà pour la troisième fois un tel concert dans le cadre du Montreux Jazz Festival. Mais nous voulons aussi rendre des concerts accessibles aux personnes sourdes dans d'autres villes de Suisse ces deux prochaines années. C'est pourquoi nous avons besoin de votre soutien financier.

Au Burkina, faire des heures de marche à pied est le quotidien des femmes et filles. C’est aussi le cas d’Aminata de Rambo, dans la région du nord, qui affirme marcher presque 6 heures par jour. Le matin elle se rend à la rivière pour chercher de l’eau, ensuite elle fait 2 heures de marche pour aller au jardin potager. L’après-midi elle met entre 2 à 3 heures pour aller en forêt chercher du bois de chauffage. Le soir, elle va au jardin pour arroser les tomates. Avoir un vélo signifie pour Aminata et beaucoup de femmes à Rambo: • Pas d’émission de CO2 • Libre mobilité • Accès rapide à l’école, aux champs, aux marchés et aux centres de santé Le projet «Rambo roule» sera conjointement dirigé par «Vélos pour l’Afrique», «l’association Kaïcedra», et l’organisation locale «Association Aidons l’Afrique Ensemble» et veut promouvoir pour la population de cette région un commerce de vélo qui leur est propre et autonome, ceci afin d’améliorer les conditions de vie. Le projet se déroulera de la manière suivante: «Vélos pour l’Afrique» fournira dans un premier temps 470 vélos recyclés provenant de la Suisse, vélos qui seront vendus aux femmes et jeunes filles à des prix accessibles. En outre, ce projet offrira des cours de formation en mécanique et marketing du vélo dans leurs ateliers locaux, afin de créer une économie soutenable. Les marchands locaux pourront se procurer des vélos et des pièces de rechange à des prix favorables, pour maintenir leur marché de manière soutenable. Nous avons encore besoin de CHF 3000 pour le matériel de formation et l'équipement des ateliers. • Avec un don de 15 Francs suisses une femme pourra s’acheter une trousse à outils qui lui permettra de réparer elle-même son vélo. • Avec un don de 50 Francs suisses, un vélo pourra être acheminé de la Suisse au Burkina Faso. • Avec un don de 100 Francs suisses, vous permettez à deux femmes de participer à un cours de 3 semaines de mécanique du vélo. «Vélos pour l’Afrique» et sa fondation sont exonérées d’impôts. Les reçus de vos dons sont émis volontiers sur demande.