L'idée est simple : soutenir un système de patrouille d'écogardes pour empêcher le braconnage et faire de la sensibilisation au niveau local. En créant de l'emploi, on préserve donc efficacement l'espèce sur ce lieu de ponte ancestral.
L’association Swiss Cetacean Society-SCS en partenariat avec la Fondation Ensemble et l’association Terre et Faune, soutient depuis 2010, le travail de l’équipe locale de l’association Ulanga Ngadizja. M. Mohamed Said Hassani est Docteur en chimie et chercheur à la Faculté des Sciences de l'Université des Comores entre autres. Son équipe est composée de 4 écogardes, dont 1 femme.
Le soutien de la SCS a permis d’assurer le fonctionnement du bureau local, les salaires de l'équipe de travail, leur formation initiale et la réalisation d’un film documentaire.
Des patrouilles quotidiennes sont organisées pour protéger les tortues et leurs œufs du braconnage.
Ces dernières années ont également permis de compiler toute une série de relevés d’observations scientifiques, une base de données précieuse encore à traiter.
M. Said Hassani et son équipe ont également mené un très gros travail de communication et d’information auprès de la population locale (pêcheurs, villageois, autorités, enfants, médias) pour sensibiliser la population locale sur son propre intérêt à conserver les tortues. En effet, sa fonction dans l’écosystème est primordiale pour garantir l’abondance de la pêche, source essentielle de revenus. Le développement écotouristique envisageable pourrait également être une source de revenus alternative.
Ainsi lancé, le projet de protection de la tortue verte défendu par Ulanga Ngazidja a permis d’obtenir du fond monétaire environnemental « small for grants » (programme spécifique des Nations Unies pour le Développement ou PNUD) la somme nécessaire à la construction de bungalows et d’une salle polyvalente (aussi Maison de la Tortue) pour un tourisme encore à développer.
Alors qu’une tortue n’avait aucune chance de retourner à la mer il y a à peine quelques années, elles réinvestissent aujourd’hui timidement les lieux, renouvelant leur confiance en l’Homme.
Un travail remarquable a été fourni par l’association Ulanga Ngazidja pour atteindre ses objectifs de sensibilisation et de préservation.
Surtout, nous avons assisté au retour de la Tortue Verte sur leur lieu de ponte de toujours.
CONCLUSION
Les bases d’un travail qui ne demandent qu’à germer sont posées.
LA SCS souhaite poursuivre sa collaboration avec ULANGA NGAZIDJA en proposant son soutien logistique au niveau international.
LA POURSUITE DU PROJET ET MENACÉE, à l’image du bébé tortue qui cavalcade de sa coquille a l'Océan.
Au moment où l’on assiste au retour des Tortues, les fonds s’amoindrissent et
NOUS AVONS BESOIN DE VOUS POUR ECRIRE LA SUITE DE L'HISTOIRE !
The idea is simple: support a system of ecoguard patrollers to prevent poaching and raise awareness at the local level. By creating employment, we efficiently preserve the species on this ancestral spawning site.
Since 2010, The Swiss Cetacean Society –SCS, in association with the Fondation Ensemble (Together Foundation) and Earth and Wildlife Association (l’association Terre et Faune), support the work of a local team from the Ulanga Ngadizja association. Mohamed Said Hassani has a Doctorate in Chemistry and is a researcher in the Faculty of Science of the University of Comoros and others. His team consists of 4 ecoguards , including 1 woman.
The support of the SCS has ensured the operation of the local office, the salaries of the work team, their initial training and the production of a documentary.
Daily patrols are organized to protect the turtles and their eggs from poaching.
The work conducted over recent years has helped us compile a series of summaries describing scientific observations, this basic, yet valuable data still has to be processed.
Mr Said Hassani and his team have encouraged improved communication and information for local people (fishermen, villagers , government , children, media) to sensitize the local population to the fact that it is in their own interest to keep the turtles. That their role in the ecosystem is essential to ensure plenty of fishing, an essential source of local income. The possible ecotourism development could also be an alternative source of income.
Once launched, the project to protect the green turtle maintained by Ulanga Njazidja obtained environmental funding from "small grants" (specific program of the United Nations Development Programme or UNDP), receiving the amount required to build bungalows and a multipurpose room (also House of Turtle ) for tourism which have yet to be developed.
Only a few years ago, turtles had no chance of returning to sea on these very beaches and today they are timidly returning to them, renewing their faith in humanity.
Remarkable work was undertaken by the Ulanga Njazidja Association to achieve the objectives of raising awareness and preservation.
Most importantly, we have guided the return of the Green Turtle on their ancestoral spawning grounds for now and forever.
CONCLUSION
The foundation work just waiting to germinate are asked.
SCS wants to continue its collaboration with Ulanga Njazidja offering logistical support at the international level.
CONTINUATION OF PROJECT ISTHREATENED, like the baby turtle that journeys from its hatched egg to the ocean.
While we are witnessing the return of Turtles, funds are shrinking and
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